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Au Sommet de la Terre de Rio (Juin 1992), sous l’égide de l’ONU, tous les pays ont décidé au travers d’une convention mondiale sur la biodiversité de faire une priorité de la protection et restauration de la diversité du vivant, considérée comme une des ressources vitales du développement durable.
Au cours de sa longue histoire, la planète bleue a déjà connu cinq extinctions de masse, dont la plus célèbre sonna le glas des dinosaures. La 6e extinction de masse à laquelle nous assistons en ce début de XXIe siècle est due exclusivement à l’impact d’une espèce dominante sur son environnement : Homo sapiens.
Actuellement, 27 000 espèces disparaissent chaque année, 74 par jour, 3 par heure. Une espèce animale ou végétale est rayée de notre planète toutes les vingt minutes !
© Tous droits réservés, Réseau Saida Nature 2008-2016
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bonjour M GRIM Longue temps de vous nouvelle c’est de ma faute de ne pas d’ouvrir ce site à cause de qq gens qui mon pousse d’augmenter ma tentions avec tout mes respect mon professeur enfin je vous souhaite une bonne vie .
je trouve instructif votre sites sur la biodiversité et les changements climatique
Le soliloque nauséabond de M. Grim Saïd n’enrichit en rien notre curiosité scientifique.Rien à faire dans ce site
Menaoueri: A L’occasion de la nouvelle année 2011 je vous souhaite une longue vie plein de prospérité et de bonheur.MONSIEUR, G R I M S A I D
je voudrais savoir combien un garde forestier touche par mois et merci.
moi je conais tres bien l affaire CHAOUI lorsqu il etait DIRECTEUR DES FORETS EN 1963il avait comme consilleir GRECO ET CHABROL EN 1965 fut designe CON SEDVATEUR D oran et en 1966 IL FUT CONDAMNE a 7ans deprison.Pou BERRINIje cmmais que vaguement son histoire Quand a MAROC tout SAIDA connaisl histoire pour votre cas arreter de vous donner trop d importance tout ce que vous avez dit a votre sujet c est de science fiction dont ALFRED HITCHOK peut s impregner et creer un filn Arereter vos vulgaires mensonges pour ce qui de votre valet ABBAS ce n est qu un petit cocu et vous le saver tres birn que moi et ca vous l appele la roujla ALLER AU DIABLE AVEC votr amenagement
Personnel de l’ancien projet Pineraie de Saida, tiens bon. Je sais que vous avez été humiliés, que vous rasiez les murs, que vous n’étiez désignés que par les »chekkama à Grim ». Un projet d’aménagement forestier ne peut fonctionner avec des »chekkamine », des »valets » comme l’écrit »Bilal-Voyageur ».
Vous étiez des agents d’honneur, de dignité, de compétence.
Quand tu es intervenus sur ce site, Lakehal Belabbas, c’était sous ton nom véritable;
Il en a été de même pour toi, Menaoueri Mir;
Et ce serait nous les »chekkamine », les valets… pas les corbeaux qui calomnient de façon anonyme?
En 1980 le dépôt de bois de l’O.N.T.F. de Youb servait également de débit de boissons alcoolisées clandestin. J’en ai informé dans un rapport Mohamed Rouighi, alors secrétaire d’État aux forêts et au reboisement en même temps que Hadj Laribi, directeur général de l’O.N.T.F.; ces deux responsables réputés pratiquants religieux modèles ont été profondément irrités par cette révélation.
Leur courroux provenait du fait que la découverte a été faite par quelqu’un dont les dignitaires forestiers prétendaient qu’il était un ivrogne invétéré.
L’ agent de l’O.N.T.F., vendeur clandestin de vin, ne fut pas sanctionné; il lui fut simplement demandé de s’adonner à son activité lucrative avec plus de discrétion.
Visiteur de ce site, vous commencez à avoir une idée de la manière dont nombre de forestiers concevaient leur mission.
Les choses ont-elles changé aujourd’hui? – Je ne saurais le dire.
La lente dégénérescence du secteur forestier a commencé en 1965 avec la nomination de Benaissa Hakka, ingénieur civil des eaux et forêts comme moi, à la tête du secteur.
La situation s’aggrava en 1972 avec la création de l’O.N.T.F. et la nomination à sa tête de Aissa Abdellaoui, ingénieur civil des eaux et forêts également.
Les E.M.I.F.O.R., O.R.D.F…. accrurent encore la confusion au plus grand bonheur des forestiers véreux.
L’évocation par »Bilal-Voyageur » de la Chambre d’agriculture de Ahmed Bouchetata ne constitue qu’une tentative de dresser un écran de fumée pour dissimuler une réalité sombre à la fois pour la forêt d’Algérie et pour ceux qui ont vocation pour la défendre, la servir.
Connaissez-vous l’affaire Abderrahmane Chaoui?
Connaissez-vous l’affaire Abdelhamid Bérini?
Connaissez-vous l’affaire Mohamed Marok…?
Savez-vous que depuis 1965, le tandem Benaissa Hakka- Abdelkadetr Bourahla ont fait que dans le secteur forestier un bon forestier (sic) est d’abord un mouchard?
Dans le secteur forestier, un mouchard peut passer sans aucune difficulté du rang de préposé forestier à celui de conservateur général sans que la direction générale de la Fonction publique y trouve à redire…Le savez-vous?
Il m’a fallu un important effort de mémoire pour me souvenir du nom du responsable de la cellule FLN des agents de l’O.N.T.F. chargés par leur hiérarchie – en appui à la cellule Mokaddès – de saboter le projet d’aménagement de la pineraie des Monts de Daia et de Saida. Il s’agit du conducteur de véhicules Benaouda relevant alors de la direction du projet Hassasnas dirigée en ces temps par l’ingénieur d’application Mokhtar Benahbouha. Benahboula de même que notre supérieur hiérarchique commun Senouci Bendani jurèrent leurs grands dieux qu’ils ignoraient tout de cette cellule – illégale selon les statuts de l’entreprise. Les deux responsables mentaient bien évidemment.
Profitant de cet ajout, signalons rapidement que ce fut Khelloufi Benabdelli – il deviendra docteur es Sciences – qui conduisit à la mort – avec l’ingénieur forestier Kouider Derouiche – le projet Pineraie d’aménagement. Cette personne a publié un écrit sur la commune de Ain el Hadjar. Je l’ai interrogé par courriel sur certaines de ses assertions; il refuse toujours de me répondre. Khelloufi Benabdelli est libre de me montrer son mépris et je suis libre de me poser des questions sur des docteurs es Sciences forestiers non titulaires du baccalauréat de l’enseignement secondaire.
À titre d’illustration, cela fait 27 ans – bientôt 28 – que je demande qu’un jury impartial réexamine le mémoire qui a valu à Bachir Kadik, ancien préposé des services agricoles, d’accéder au rang de docteur es Sciences.
Un mémoire, je le répète, qui ne vaudrait même pas à son auteur d’accéder au grade d’agent technique des forêts.
Toujours au début des années 1980, le conservateur des forêts de Saida engage des pourparlers avec la Mouhafadha en vue de créer une cellule FLN spécialement chargée de créer des incidents devant aboutir à la dissolution du projet Pineraie.
La responsabilité de la cellule est confiée au garde forestier Hadj Mokaddés placé pour ces circonstances en position de détachement par son administration d’origine. Le garde forestier Mokaddès et ses soit-disant moudjahiddine forestiers perturbèrent lourdement notre structure d’aménagement. Perdant patience, Mokaddès finira par demander au commissaire de police de Saida mon arrestation qui n’eut pas lieu en raison du caractère manifestement fantaisiste des accusations portées contre moi. Il faut dire que les services de sécurité de Saida eurent fréquemment à enquêter sur mon compte suite à des accusations portées à visage découvert ou de façon anonyme.
Une deuxième cellule dans le cadre de l’O.N.T.F. cette fois, fut également mise sur pied; cette structure, dépourvue de siège administratif, se regroupait d’abord au café Tira – à l’angle des rue Daoudi Moussa et Ahmed Medeghri – puis par la suite dans un autre café proche de l’ancienne poste. Sa mission était d’épauler la cellule Mokaddès et prouver qu’il y avait unanimité contre moi.
Dans le cadre de leurs activités supposées militantes pour la plus grande gloire de l’Algérie, ces autoproclamés gardiens de la pureté révolutionnaire FLN mandatèrent le garde forestier Ali Kafi pour que je réponde d’insultes que j’aurais proféré à l’égard du parti – chéri des masses prétendait-on. Après un long interrogatoire mené avec force gros yeux et froncement de sourcils, le garde forestier Ali Kafi rendit son verdict: j’étais innocent. Je n’avais effectivement à aucun moment insulté le FLN.
Au début des années 1980 les gardes forestiers percevaient un salaire mensuel d’environ un millier de dinars. Les maisons de maître qu’ils se firent construire entre Saida et Rebahia peuvent être estimées chacune à beaucoup plus de 10 millions de dinars. D’où provenaient les revenus autorisant ces constructions?
»Bilal-Voyageur » est-il disposé à révéler aux visiteurs de ce site en quoi consistaient les tournées printanières et estivales en véhicules 4X4 des prétendues brigades de prévention des incendies de forêts ou dois-je le faire à sa place?
»Bilal-Voyageur » veut-il bien donner la fonction du propriétaire des troupeaux qui détruisirent les denses régénérations de pin d’Alep apparues après les grands incendies de la forêt domaniale d’Oued Sefioun dans les années 1970?
»Bilal-Voyageur » confirmera-t-il que suite à la dénudation des sols sur grès de la forêt d’Oued Sefioun, des placages sableux sont visibles sur la route nationale Saida-Sidi bel Abbès à hauteur de Youb (Berthelot) par exemple?
»Bilal-Voyageur » sur Saida-Nature-Environnement, »Sofiane B.-Sofiane » sur Djelfa.com… vous calomniez et vous me donnez l’occasion d’informer.
Continuez et je continuerai.
Les propos de celui qui signe »Billal » et »Voyageur » méritent qu’on s’y attarde longuement et peut-être même très longuement. Nous y reviendrons par conséquent.
Pour cette fois, qu’il me suffise de confirmer que:
1 – J’ai été contraint d’interrompre mon travail d’aménagiste forestier et de quitter Saida PAR LA VIOLENCE,
2- J’ai échappé à une MACHINATION VISANT À ME FAIRE ASSASSINER par des agents du secteur forestier devant mon domicile, 13 rur Daoudi Moussa à Saida,
3 – Mon logement dont je suis encore le locataire légal – mon arrêté de concession n’a jamais été annulé – a été occupé de force et dans l’illégalité.
4 – La police et la sécurité militaire ayant refusé de se déplacer 13 rue Daoudi Moussa lors de la première tentative d’effraction de mon logement; les responsables forestiers de Saida et le wali Abdelkrim Bouderghouma, par le biais de Senouci Bendani *, ont tenté de m’attirer au siège de la wilaya pour m’y faire appréhender; informé du complot par des collègues, j’ai pu échapper au traquenard.
* Senouci Bendani était directeur régional de l’O.N.T.F. pour la région Ouest; dans la plus grande discrétion, c’est à dire sans m’informer de sa venue, il est arrivé à Saida en compagnie de Abderrahmane Ghout son chef du Bureau de sécurité et prévention.
Contrairement à son habitude, Abderrahmane Ghout avait une arme sous la ceinture; ces deux personnes étaient venues »achever le travail » dans le cas d’une défaillance des agents de la conservation des forêts de Saida.
5 – En juillet 1973, les dignitaires centraux du secteur avaient demandé à la sécurité militaire de me neutraliser sous prétexte que mon déplacement à El Kala avait pour but d’y provoquer une révolte; je me trouvais dans l’ancienne wilaya de Annaba en mission officielle dans le cadre de la préparation de la partie forestière du programme spécial envisagé pour la région.
6 – Toujours en juillet 1973 la police de Annaba est informée que je me préparais à attaquer une banque de la ville; la police fut évidemment mise en état d’alerte* ce qui aboutit à mon arrestation – qui ne dura pas plus d’une trentaine de minutes.
* Cette calomnie a pour auteurs:
– Abdelhamid Ouelbani, ingénieur civil des travaux des eaux et forêts, alors directeur départemental de l’Agriculture de Annaba; il deviendra par la suite conseiller du ministre des Travaux publics, directeur central au ministère des forêts, directeur du muséum d’histoire naturelle, directeur général de l’O.R.D.F. Centre…
– Abdelhak Boussaha, ingénieur civil des travaux des eaux et forêts, alors responsable de l’O.N.T.F. pour la wilaya de Annaba; il occupera différentes fonctions de responsabilité dans le secteur forestier.
Abdelhak Boussaha fera volet à l’aide du double des clefs
le véhicule de service contenant mes bagages. Ce sont les mêmes policiers qui m’avaient arrêté qui retrouvèrent, de nuit, la voiture. J’étais probablement filé à mon insu durant toute ma mission dans la wilaya de Annaba.
7 – En juin 1980 1980 je suis interpellé par la sécurité militaire sur dénonciation calomnieuse de responsables centraux de l’administration forestière. Je suis enfermé durant 48 heures dans les locaux de la gendarmerie de Tipasa; présenté devant le juge par des gendarmes du Tribunal militaire de Blida, je fus mis en liberté provisoire; quelques mois plus tard le juge du tribunal de Hadjout (ex Marengo) m’acquitta – qu’il en soit remercié de même que le capitaine de la sécurité militaire de Saida, Okacha.
Ce n’est que longtemps après que je sus la raison de mon arrestation par la sécurité militaire et la mobilisation de gendarmes d’un tribunal militaire pour me conduire devant le juge d’instruction:
Les dignitaires du secteur forestier avaient informé les services de sécurité que j’avais pour projet de perturber le déroulement du congrès extraordinaire du FLN de juin 1980.
Je m’arrête à ces évocations pour cette foi.
Dans le premier post du 15 décembre, lire directeur général de l’O.N.T.F. au lieu de directeur général des forêts. Le directeur général de l’O.N.T.F. en question se nomme Abdelmalek Said. Son méfait lui a fait gagner un poste de codirecteur d’un projet forestier bidon au Congo Brazzaville. Juste pour qu’il puisse s’enrichir un peu plus.
Précisons également que Abdelmalek Saidi est un ingénieur civil des travaux des eaux et forêts; il a été formé à l’École forestière des Barres où on enseigne en principe autre chose que la manière de s’emparer des biens d’autrui par effraction.
Il m’est évidemment possible d’évoquer les turpitudes d’autres dignitaires forestiers…et sous mon nom d’état civil, pas sous pseudonyme.
Une précision supplémentaire:
Depuis 25 ans je ne cesse de réclamer la restitution de mes meubles, effets et documents se trouvant dans mon logement occupé par effraction par les agents du secteur forestier sur instigation de leurs supérieurs hiérarchiques.
Les responsables du secteur forestier de Saida refusent, jusqu’à ce 15 décembre 2010, de me remettre mes biens.
Il faut redire également que j’étais le locataire légal de ce logement dont je m’acquittais régulièrement du loyer au siège du Trésor (à l’époque rue Daoudi Moussa également).
Il faut peut-être également rappeler que les agents forestiers en uniforme sont des auxilliaires de justice; qu’ils sont engagés sous serment à appliquer rigoureusement la loi.
Des malfrats auxilliaires…de justice et on s’étonne que l’Algérie ne parvient pas à extirper l’insécurité!
Pour les visiteurs impartiaux de ce site et qui ont le courage d’exprimer ce qu’ils ont à dire sous leur véritable identité je confirme ce qui suit:
Mon activité de forestier m’a désigné comme la cible de 5 tentatives d’assassinat toutes ordonnées par les dignitaires du secteur forestier. La première en 1972, la dernière en décembre 1985 devant le 13 rue Daoudi Moussa à Saida.
La machination de Saida consistait à m’abattre si d’aventure je m’avisais de défendre mes biens – mon logement et les avoirs qui s’y trouvaient . Le vice ministre des forêts, le ministre de l’hydraulique, le wali de Saida, le directeur général des forêts, Ahmed Bouchetata, Bouziane Ramdoune avaient dépêché sur les lieux des forestiers en armes et en uniformes pour la sale besogne.
Le directeur régional de l’ONTF pour l’Oranie escorté de son chef du Bureau de sécurité et prévention, également armé, sont arrivés également sur les lieux pour porter éventuellement assistance à mes agresseurs.
Pour ma part je n’étais pas armé mais j’avais été prévenu par mes amis saidéens dans les moindres détails de la machination.
Les forestiers de la conservation des forêts de Saida devaient me tuer sous prétexte de légitime défense dans le cas où je me serais opposé à l’effraction de mon logement à la barre à mine.
Une dizaine d’agents du projet Pineraie se trouvaient à l’intérieur de mon logement; ils enrageaient du fait que je leur avais interdit de riposter à l’agression dont ils étaient témoins.
J’ai été chassé de Saida; les décisions administratives établies ont été établies avec effet rétroactif.
Mes agresseurs ont fait pression sur les responsables de la police et de la sécurité militaire de Saida pour qu’ils apportent une aide à leur méfait. Pour leur honneur, ni le capitaine Okacha, ni le chef de la police n’acceptèrent de devenir complices de malfaiteurs.
Celui qui écrit ces lignes est parfaitement identifié. Ceux qui veulent contester ce que j’écris devraient le faire sous leur identité véritable. S’ils persistent à intervenir sous pseudonyme c’est que la vérité les terrorise 25 ans après les faits et bien qu’ils ne risquent absolument rien de mon côté.
Mes calomniateurs savent que la majorité du peuple de Saida est hostile à l’injustice, à la hogra prévue pour s’achever par mort d’homme.
Les faits que j’ai décrits se sont déroulés devant au moins des dizaines de personnes entre voisins et passants et, en décembre 2010, tous ne sont pas morts. Cela aussi terrorise mes diffamateurs.
de quoi tu te mele situ veux critiquer reste en algerie ta une dent contre l algerie cette dent existe depuis TAYEBI LARBI tu sais de quoi je parle Quand a vos deux valets ne savent encore que tu est hors d ALGERIE TUas fait beaucoup de mal aux personnels et a la FORET ALORS FERMEZ VOTRE BOUCHE Tu vit au depend de celui qui t ecoute donc tu est renard tu a ete expedie de DJELFA a TAM tu na pas fait d expeditin
il existe plus d une centaine despecmen dc fameux cypres et lr plus beau se trouveau niveau du centre de cente de la marine.Ces plants ont ete eleves dans la peplnere de RABAHIAQuand a M GRIM il dit qu il a ete chasse deSAID NON JEREGRETTE VOUS AVEZ EU UN PROBLE AVEC m bouchetta DIRECTEUR DE L aGRICULTURE AU SUJET DES LOCAUX de l administration des forets u se trove actuellement la chambre de l agriculture et le siege de la circonscriptio des foretsLa suite nous la connaissant.J ai lu pratiquement tout vos messages,vous faites l eloge aux pseudoforestiers qui n ont aucun lien sauf quelques un qui se reconnaitons ces soit disant techicien la plupart d entr eux sont illetttres c etait de simples chaffeurs de camion ou chef de chantier; ces qualifications ne sont pas reconnus par la fonction public Pourquoi vous ne cite pas MEBKHOUT et votre agent ATTOU KADDA…Pour les travaux que vous avez effectues n ont fait que vaforiser l ersion qui visble sur le terrainQUANT A VOS VALETS ILS SE RECONNAITERON ET VOUS SAVEZ DE QUI JE PARLE;Vous avez accuse les vrais forestiers de tous les mauxVOTRE ANTECEDANT NOUS LE CONNAISSANT vous dites que vous avez effectue deux expeditions au sahara pour faire l inventaire du cypres non monsieur vous etiez mute par mesure disciplinaire.pourquoi vous n etes pas reste en ALGERIE; a suivre
Abbas, c’est un état des lieux sans faille que tu viens de dresser. Je reconnais bien Abbas qui malgré les tensions, les pressions a tenu bon considérant que des risques méritaient d’être pris pour mener à bien ce projet de préaménagement – qui a pris un nouveau nom depuis; on parle maintenant de «Méthode d’aménagement sur compartimentage préalable» qui se décompose en deux volets: «Orthogonal», (mis en application dans la région de Saida) et non rectiligne (appliqué en 1993-1994 sur une petite superficie dans la forêt de Bainem).
Tu te souviens de ce que les dignitaires disaient de nous; nous sommes en 2010 et je ne pense pas que nos agents aient à rougir de ce qu’ils ont réalisé.
La providence a voulu que notre travail soit visible sur Google Earth; tout un chacun peut se faire une opinion sur ce qui a été réalisé par le personnel de Saida.
C’est une sinistre plaisanterie que de prétendre faire de la sylviculture en ayant recours à des «privés»; où vont les éventuels produits de la sylviculture lorsque l’unité de panneaux de particules de Telagh n’existe plus?
Par ailleurs tout le monde sait que le recours à ces «privés» est un moyen d’arrondir ses fins de mois; je n’en dis pas plus pour ne pas contrarier le gestionnaire de ce site dont nous sommes les invités.
Avant d’aller plus loin je te demande de transmettre mon salut fraternel à tous ceux que tu as cités; toi, moi, Menaouri et peut-être d’autres nous attacherons à présent à exposer notre méthode et nos résultats sur internet.
Si cela est possible, fais savoir à Senouci Brahmi que je prie pour son bon rétablissement.
Je te répète que tu as réalisé un travail fondamental: comparaison de notre technique avec celle des forestiers bulgares dans la forêt de Tendfelt; Didaoui et Belkhodja ont également fait un important travail cartographique en comparant le découpage cadastral de l’administration forestière française et notre propre découpage.
Tu imagines sans doute que nous avons beaucoup de choses à nous dire; donnons-nous le temps de le faire.
Tu confirmes, pour ce qui est du niveau technique du personnel forestier, mes appréhensions. Le niveau technique des techniciens de la forêt s’est effondré…probablement à jamais.
Entre 1965 et 1968 j’ai travaillé dans d’excellentes conditions avec des chefs de district comme Mohamed Mehenni et Said Kebab;
En 1968-1969 avec des préposés comme Abdelhamid Bérini, Mohamed Boussiri, Younès Atek…
En 1973 avec d’autres préposés comme Belhamel, Yahiaoui…
En 1980 avec des agents comme Lakehal Belabbas, Abdelkader Djiid, Mohamed Marok…
Je ne t’apprends rien en te disant que les ingénieurs forestiers se sont toujours considérés comme dispensés de tout travail de terrain.
Oui, j’ai bien senti que la compétence dans notre corporation s’est effondrée…probablement à jamais une nouvelle fois.
J’aimerais également avoir des nouvelles du garde forestier Chikh Mokaddes chef de la kasma FLN créée spécialement dans les années 1980 pour nous empoisonner l’existence; des gardes forestiers «moudjahiddine» également.
J’attendrai donc que tu aies plus de temps pour envisager avec toi et Menaouri les modalités de construction du site dédié à la pineraie de Saida; ce sera notre dernière contribution – toujours fi sabil Allah – à la forêt et au peuple d’Algérie.
Je crois que le gestionnaire de ce site a créé une rubrique forestière; j’essaierai aujourd’hui-même d’y transférer ton message et le mien.
Forestières salutations.
Lakehal Bel Abbes
Monsieur GRIM ,jai bien lu vos réponses à monsieur ménaouri ,premierement en ce qui concerne le compartimentage éffectué a rekrisset il a été realiser par l’agent Chirifi Ameur sur une partie du canton Rèkrisset foret domaniale de hassasnas porter sur carte mais il n’a pas eu d’établissement de notice ou d’écris sur ce compartimentage en maquis de chene vert et de genevrier et depuis personne n’à chercher à poursuivre ou d’inover une formule propre à ce type de foret et d’especes
en ce qui concerne les agents et ouvriers qui ont participés à l’application du pré-amenagement
-Djid se trouve a Tiaret et travaille a son propre compte
-Bel abbaci naceur, est en retraite et se trouve a Saida
-Didaoui est en activité a la Safa-Dahra a Sidi Amar
-Brahmi Senouci est en retraite ,il habite a Tighenif, il est actuellement malade.
-Rahmani et Belkhodja sont en retraite et se trouve a SAIDA
-Belhadi Berezoug est decédé
-Derouiche était Directeur de la peche a Mostaganem derniere information.
-Boucif Mohamed en retraite aprés avoir réintégré l’administration des forets,les agents comme Zerouki Moussa,Kouider,Hadj ,Belkacem, en retraite, je les vois de temps en temps au Douar o/ Zerouki ou a Saida, le chef de chantier Fekih miloud est en retraite et habite YOUB avec Kandouci Laredj
-Kheira est en retraite et vie toujours a Saida, elle est vraiment vieille
-Sediri mohamed travaille dans un centre de formation profesionnelle,là c’est a peu prés ce que j’ai a dire des Agents qui ont terminés avec nous et sans oublier ceux qui sont partis pour des raisons personnelle
-Actuellement je n’ai pas beaucoup de temps a consacrer a l’internet mais j’espere que dés que je prend ma retraite j’aurais tous le temps à m’occuper de reprendre la pré-occupation du pré-amenagement et des forets en particulier—-donnez moi un peu de temps pour pouvoir vous informer sur la situation actuelle des forets compartimenteés ,incendie, coupes des futaies de la premiére série de Ain Zedim ,coupes sauvages de beaux arbres de pin d’alep qui longeait et couvraient les chabets.–
-Reprises de l’infrastructure(pistes) anciennes par l’administrations des forets en foret compartimentés sans tenir compte des routes forestiéres réalises dans le cadre du pré-amenagement etc…..non entretiens des routes forestiéres éxistantes, travaux de sylviculture confiés a des entreprises privés sans encadrement d’ingénieurs ayant une connaissance de sylviculture ,dés que j’aurais le temps et la vérification de l’état des differentes forets toucheées par le compartimentage du pré-amenagement que j’ai toujours défendu l’ors des travaux de repeuplement entrepris par l’Administrations des forets à ce que les parcelles soient respectés et que toutes ces interventions ne sont pas consignes ,donc il y à beaucoup à dire parce que aucun forestiers ne s’est interéssé à poursuivre ou a rechercher d’autre amélioration à la sauvegarde de nos forets
-j’aurais à répondre à ceux qui critique la méthode du pré-amenagement,cout à l’hectare qu je connais bien les lignes restilignes en relief accidenté mais personne n’ose amélioré ou trouver la méthode du pré-aménagement en terrain accidenté que nous n’avions pas put terminer pour les raisons que nous connaissons tous
-Pour le site je vais faire quelque chose et en vous demanderas de nous enriontés………..A BIENTOT
Menaoueri. Monsieurs,les forestiers notre foret à besoin d’aide c’est notre poumons,elle à subi de plusieurs dégradation naturelle et humain ,elle à besoin de nous pour la sauvée ,c’est pour cela ce site est très intéressant pour partager nos idée .
TRÈS CORDIALEMENT
Menaouri, je me doutais bien qu’il te faut de l’aide pour la réalisation du site web; prends tout ton temps et nous en reparlerons.
Les anciens agents dont tu parles exerçaient pour la plupart en dehors de Saida – à part Rahmani que je salue.
Je pensais surtout à Belabaci, Didaoui,,,Je voulais également savoir si la pineraie de Saida est sécurisée.
T’arrive-t-il de te rendre parfois dans la région de Sidi Embarek (Garrigues)?
Pour ce qui est d’éventuelles fautes d’orthographe ou autres, tu n’as aucune inquiétude à te faire. Fais-toi installer un logiciel word ou bien aies à côté de toi toujours un dictionnaire.
Les Algériens préfèrent, dans leur majorité, parler qu’écrire. Ils ne lisent pas beaucoup également.
Pour toi, tout va pour le mieux; il te suffit de continuer.
Tu remarqueras que les interventions sur ce site – ou ailleurs – d’ingénieurs forestiers, écologistes- sur des questions liées a`l’aménagement, la sylviculture…sont pratiquement inexistantes; ils sont pourtant nombreux les cadres forestiers ou assimilés au niveau de Saida! Mais dès qu’il s’agit de parler, ils sont intarissables; encore ne s’agit-il le plus souvent de faire état que de leurs «idées».
Pas question de présenter une réalisation cohérente susceptible de faire école.
Pour revenir au site web, je te répète qu’on m’a dit que de nombreux jeunes algériens maîtrisent cette technique en amateurs; si l’information est exacte il devrait s’en trouver à Saida.
Il s’agira de construire le site le plus facile à réaliser: Une page d’accueil et des photographies – y compris de l’imagerie Google Earth – avec leurs commentaires: une à dix lignes.
J’allais oublier de te demander de saluer de ma part Tiffour, un agent de la conservation de Saida, un excellent élément.
Menaoueri,Bonjour Concernant la création d’un site web je suis pas en mesure de les faire mais je fais l’impossible de le réaliser cette idée .
Pour la situation de nos forets présque le 1/3 a été incendie d’après les gens ,pour moi je n’ai jamais visiter la foret depuis 1990 .
je propose pour les foret incendies leur intervention d’exécution des travaux de repeuplement par plantation est nécessaire malgré les jeunes semis qui se produises mais je sais que ce sont pacagés ainsi le changement de climat .
(information concernant mes collègues ,M Bahmane est devenu un grand entrepreneur,M Belkheir abderazek se trouve dans le port d’Oran avec un poste clef, M Rahmani en retraite mais travaille avec contrat à telagh safa dahra.)
M Grim je vous demande de me corrigé si je me suis trempé dans ma proposition.
A BIENTÔT.
Je sais maintenant Menoueri que tu as 56ans (né en 1954, l’année terrible), que tu es à la retraite et que tes occupations majeures sont le jardinage et l’activité sur ordinateur.
Ce sont à mon avis de très saines occupations dans la mesure où c’est ce que j’aurais fait si j’avais un petit espace à cultiver.
C’est ton activité sur ordinateur qui pourrait nous permettre de faire à nouveau un bout de chemin ensemble à cette fois 7 000 kilomètres l’un de l’autre.
J’ai entendu dire que les Algériens, on m’a parlé surtout des jeunes – excellent dans la construction de sites web. Si tel était le cas, t’est-il possible d’envisager la construction d’un site dédié à notre travail à tous entre 1973 et 1986 – ou même plus tard.
Ce site serait d’envergure modeste et comporterait dans une première étape surtout des photographies.
Je suis disposé à collaborer aux commentaires (une à une dizaine de lignes) des images dont le positionnement devra être fait avec rigueur. En ce qui concerne les territoires de la subdivision de Sidi Embarek, la tâche sera assez facile dans la mesure oû chaque compartiment – voire éventuellement l’une de ses cloisons – peut être localisée avec précision.
Il suffira par exemple d’indiquer «piste limite entre les compartiments 23 et 35 de la N ième série de la forêt X» ou bien angle sud-ouest du compartiment 56 de la N ième série de la forêt Y» pour que nous sachions parfaitement où nous nous trouvons.
Je ferai la proposition aux forestiers de Djelfa dès que l’un d’eux se manifestera sur internet.
Tu ne m’a pas encore dit lesquels de nos anciens camarades tu rencontres de temps à autre.
Tu parlais de Zaoui…j’imagine qu’il s’agit de Boumediène Zaoui le vigilant gardien des locaux de la subdivision de Sidi Embarek.
Les forêts que nous avons travaillées sont-elles complètement sécurisées aujourd’hui ou bien existe-t-il encore une part de danger à les parcourir?
La presse fait état de violences épisodiques dans la région de Zégla (Mérine); en est-il de même plus à l’est?
Je rêve de grimper avec vous tous le Djebel Oum Graf.
Menaoueri,à M. Grim, Canton Rekresset un travail a été effectuer comme l’ouverture des layons avec des parcelles de 10,5 et de repérage des bornes juridiques ,j’ignore complétement pourquoi on
mis fin à ces travaux ?
Après avoir terminer le traçage des layons à rekressat en 1977 j’ai rejoigniez mes collègues à Temda pour continuer le layon nage avec M Mokades Abdelkrim (décédé) ,M Belkhoudja ,M Nour Dine Bouroumi ect…ainsi j’ai ouvrir qq layon prés de Hadjira puis affecter avec M Djid ,M Belkhoudja dans le Canton de Sidi Ahmed Zegai pour ouvrir des couloirs d’éclaircie .
1978,j’étais en mission avec M Boucif Med qui est le conducteur on à fait un accident dont mon Tibia et le péroné ont été cassés ,durant 1978 à1979 un travail de bureau qui m’ été confié ,dés ma guérison 1980 une décision d’affectation d’office illégale m’a diriger de terminer ma carrière vers l’entreprise (EMIFOR,ORDF,SAFA_DAHRA enfin c’est le mektoub.
concernant M Cherifi a travaillé à l’Emifor puis il a quitter définitivement pour occupé un poste de Chef Service T à l’APC de Saida pour le moment est devenu entrepreneur privé s’occupe des espace vert et d’autre travaux .
pour les zerouki sont tous en retraite anticipé ainsi les zaoui .
M Grim je vous remercie beaucoup d’avoir m’orienter vers le site wikipedia sylviculture,maintenant j’ai 56 ans en retraite je passe mon temps à l’aide de mon micro et mon petit jardin .
A BIENTÔT
Concernant le Barrage vert originel (1968-1973) quelques informations pouvant intresser des forestiers de Saida et transmises au site Djelfa.com
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• Pour ce qui est du Barrage vert originel (1968-1973) et en ce qui concerne les parties centrale et occidentale du projet, les opérations – qui encore une fois devaient être engagées en parallèle avec l’aménagement des formations forestières naturelles voisines – avaient pour centres principaux de décision et de contrôle les directions régionales de Messaad pour la wilaya de Djelfa, de Ain Madhi pour la wilaya de Laghouat, de Brézina pour la wilaya d’El Bayadh et de Tiout pour la wilaya de Naama.
Les directions régionales se subdivisaient en centres de gestion et ces dernières en subdivisions. Dans la wilaya de Djelfa, Abdelhamid Bérini lança les premiers travaux dans la subdivision de Moudjebara (centre de gestion de Ain el Ibel) ainsi que les bandes forestières routières Ain Oussera- Djelfa et Djelfa Boussaada, le tout visible avec une assez bonne résolution sur Google Earth.
À l’ouest de la subdivision de Moudjebara était prévue celle de Zaccar et à l’est,celle de Ain Naga.
Chaque subdivision devait couvrir une vingtaine de milliers d’hectares, un centre de gestion une soixantaine de milliers et une direction régionale à peu près 200 000.
Les territoires promis au reboisement devaient être compartimentés en parcelles d’une dizaines d’hectares à l’aide d’un réseau de lignes orthogonales – parfaitement ouvertes par exemple, au lancement du projet de Moudjebara, par l’équipe du chef de district Bérini.
Les graines devaient provenir exclusivement du versant sud de la forêt de Senalba Chergui et du canton Djelal Chergui de la forêt domaniale de Djelal (région du lieu-dit Sebaa Mokhane ,ou Mokrane, plus connu des Djelfaoui)
Il est évident aujourd’hui que la source de graines principale pour les reboisements dans la région devrait être le reboisement de Moudjebara et les bandes routières de reboisement.
Les densités de plantations retenues à l’origine (2 000 plants à l’hectare) se révèleront rapidement excessives et il aurait fallu dès le début des années 1970 élargir les écartements des plants jusqu’à atteindre des densités de plantation inférieures à 1 000 plants à l’hectare. Les bénéfices d’un tel correctif sont multiples et nous pourrions y revenir si l’on nous permettait de recueillir notre avis à ce sujet.
En tout état de cause, et pour ce qui me concerne, interdiction formelle me fut faite d’intervenir sur le sujet pendant la durée du Barrage vert erratique (1974-1989) et même après.
J’invite vivement tout contestataire des informations que je donne à se manifester, si possible sous son identité véritable, et à exposer sa version des faits.
Je maintiens que la réalisation du Barrage vert- tel que défini et proposé en 1969 – il y a 41 ans par conséquent – à Houari Boumediène et à son gouvernement – comme l’aménagement généralisé et effectif des formations forestières constituent des impératifs vitaux pour l’Algérie.
Je confirme également que les enfants de l’Algérie ont prouvé durant 26 ans (1968-1994) – avant qu’on les en empêche – qu’ils ont les compétences de gérer les forêts et de reboiser avec succès des zones semi arides de leur pays.
Raymond Antoine, professeur émérite de l’université catholique de Louvain et avec lui lui, l’Union Européenne ont attesté de la compétence, du courage et de l’engagement des forestiers algériens qui ont viscéralement rejeté la corruption et paresse.
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Pour ce qui est plus précisément du projet de Moudjebara, la matérialisation du réseau de compartimentage a été effectuée par le personnel, dont les noms ont déjà été indiqués, sur la supervision de Bérini. Tous les documents cartographiques, d’une qualité irréprochable, m’ont été communiqués et rangés dans mon bureau de la station d’amélioration des arbres forestiers du Bois de Boulogne à Alger.
En 1973, profitant de ma mutation intempestive à Saida, les dignitaires de la recherche forestière fracturèrent la porte de mon bureau emportant tout ce qui s’y trouvait c’est à dire l’essentiel de mon travail réalisé entre 1965 et 1973. Je n’ai jamais pu récupérer ces archives y compris la copie du dossier Barrage vert transmis à la présidence de la République.
Les plans des entités de reboisement délimités par l’équipe Bérini furent donc également détruits afin que nulle trace n’existe du Barrage vert originel; on se mit ces dernières années à effacer les traces du travail sur le terrain; les opérations de dévastation sont bien avancées mais c’était sans compter sur l’imagerie satellitaire y compris sur la «télédétection du pauvre» à savoir Google Earth.
Pour les anciens de l’épopée forestière Djelfaouie encore en vie, pour la mémoire de nos collègues disparus et dont je n’ai pas fait encore le deuil, je communique pour la première fois les coordonnées approximatives des centresde gravité des entités de reboisement constitées pour les plantations de la subdivision de Moudjebara.
– Entité de reboisement n°1; 34°39’22 », 3°23′,25 »E, 1 189 m;
– Entité de reboisement n°2; 34°39’22 », 3°21′,26 »E, 1 180 m;
– Entité de reboisement n°3; 34°39’22 », 3°19′,15 »E, 1 178 m;
– Entité de reboisement n°4; 34°37’45 », 3°23′,25 »E, 1 228 m;
– Entité de reboisement n°5; 34°37’45 », 3°21′,26 »E, 1 215 m;
– Entité de reboisement n°6; 34°37’45 », 3°19′,15 »E, 1 206 m…
Il y a ainsi plus d’une vingtaine d’entités – y compris les formations forestières naturelles des Djelal; le travail de cartographie sur image satellitaire n’est pas de ma compétence mais je ferai tout ce qui est en mon pouvoir et aussi longtemps que Dieu me prêtera vie pour que l’énergie, la sueur, des travailleurs forestiers du pays de Sidi Nail de la fin des années 1960-début des années 1970 ne soit pas anéanti par les prédateurs humains.
Un dispositif équivalent existe également pour les subdivisions de Zakkar et de Ain Naga, entités devant également relever du centre de gestion de Ain el Ibel, direction régionale de Messaad.
Toute personne qui désire contester mes informations est la bienvenue.
Nota: Pour ce qui est des coordonnées géographiques je n’ai fait état que des degrés, minutes et secondes; je n’ai pas jugé utile d’indiquer les centièmes de seconde. Je suis disposé à le faire sans difficulté aucune si nécessaire.
Votre commentaire est en attenté de modération
Menaoueri et Abbas, je vous demande d’éclairer ma lanterne:
Voici ce qu’on peut lire dans la version électronique du quotidien El Watan du 16 octobre 2010:
«A la une Actualité
Un sit-in est prévu dimanche
Les forestiers en colère
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le 16.10.10 | 03h00 Réagissez
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Les forestiers des 48 wilayas du pays sont mécontents. Chapeautés par le Syndicat national des forestiers et des assimilés (affilié à l’UGTA), ils vont organiser, demain, un grand rassemblement devant la direction générale des forêts.
Leur revendication : l’approbation de l’avant-projet du statut particulier de leur secteur par les services de la Fonction publique afin d’améliorer leur condition de vie.
«Un officier supérieur dans le corps des forêts, ayant pourtant un diplôme d’ingénieur, est payé 25 000 DA seulement. Les augmentations ont touché pourtant plusieurs secteurs, sauf le nôtre», regrette Yahiaoui Samir, secrétaire général de la section syndicale des forêts de la wilaya de Blida.
Se sentant lésés dans leurs droits, les forestiers se comparent au corps de la police, entre autres, où un simple agent (AOP), dont le niveau scolaire ne dépasse pas la 1re année secondaire, perçoit près de 30 000 DA. Un salaire rarement atteint par les forestiers de grade supérieur et ayant plusieurs années d’expérience professionnelle. Leur mission est pourtant aussi noble, en l’occurrence protéger l’environnement au risque même de leur vie, lorsque les feux font rage. «Le fonctionnaire des forêts est assujetti à des tâches nuisibles et demeure exposé à des risques multiples, voire à des contraintes morales, à une présence permanente, de jour comme de nuit, à son poste. Notre administration est la plus structurée et la plus ancienne, mais il semblerait qu’elle soit reléguée au second plan en dépit de son importance dans la vie sociale», ajoute notre interlocuteur.
Mohamed Benzerga»
Vous avez bien lu: «Le fonctionnaire des forêts est assujetti à des tâches nuisibles…
D’après ce que je comprends, l’agent de l’administration est contraint de nuire, de faire du tort, du mal (définition de »nuisible »…) par qui? depuis quand? Le syndicat des forestiers ne le précise pas.
Avez-vous une explication à ce sujet?
Correctif à la liste du personnel ayant participé à la misre en application de la «Méthode d’aménagement sur compartimentage préalable, volet orthogonal» dans la région de Saida (1973-1986).
Raymond Antoine (In memoriam), Lakehal Belabbes, Belhamel, Habib Belkhodja, Kada Bensekrane (In memoriam), Berezzoug Belhadi (In memoriam), Mohamed Boucif, Bouzidi (In memoriam), Senouci Brahmi, Ameur Chérifi*, Miloud Didaoui, Abdelkader Djiid, Laredj Kandouci, Kheira X., Khalifati, Mohamed Lazragui, Nacereddine Lezzar, Mohamed Marok (In memoriam), Medjahed Mekki (In Memoriam), Mir Menaoueri*, Bensafi Nedder, Mohamed Seddiri, Mohamed Seghier, Tiffour, Yahiaoui, Assia Yanat, Kouider Zerrouki.
* Uniquement dans la chênaie dégradée de la forêt domaniale de Hassasnas (les archives relatant les travaux ont entièrement disparu).
Excellente question Menaouri; comme tu peux l’imaginer une réponse complète sera forcément extrêmement longue. Il faut savoir que grâce à internet nous pouvons aujourd’hui accéder à une connaissance correcte des sujets qui nous intéressent. Il y va ainsi de la sylviculture qui semble te passionner.
C’est avec plaisir que je t’accompagnerai dans tes recherches. Voici déjà un premier lien qui te permettra de raffraîchir ta mémoire – et la mienne par la même occasion:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sylviculture
Pour revenir à ton questionnement, qu’il me suffise de te rappeler qu’il existe deux grands types de coupes en futaie régulière:
– Les coupes d’amélioration
– les coupes de régénération
Pour ce qui est des futaies jardinées, un seul type de coupe: la coupe jardinatoire qui consiste à intervenir en même temps sur les jeunes et les vieux arbres.
J’ai été amené à imaginer dans le pineraie de Saida – qui n’est constituée ni de vraies futaies régulières ni de réelles futaies jardinées – un type de coupe de coupe reposant sur une technique de sylviculture mise au point en Europe dans la deuxième moitié du XXème siècle: le cloisonnement (cliquer éventuellement sur ce mot).
Cette méthode d’exploitation forestière a été décrite au chapitre 7 du volume 1 de mon ouvrage «Le préaménagement forestier» , pages 79 à 95 photographies comprises.
Cette technique a été transposée par des forestiers algériens à un contexte de forêts dénuées de tradition sylvicole. C’était notre regretté collègue Mohammed Marok qui gérait l’ouverture des couloirs de cloisonnement alors que Belabaci Nacer suivait l’exploitation des bois et leur stockage avant leur expédition vers l’unité de panneaux de particules de Telagh.
C’est moi qui étais à l’origine de l’édification de l’usine de Télagh – aujourd’hui fermée, privant du même coup la région de ressources économiques et d’un savoir-faire à la fois sylvicole et industriel.
L’histoire de notre intervention dans la forêt de Hassasna (canton Rekressat); est longue à évoquer; j’avais d’ailleurs oublié que tu avais participé à ce travail; la contribution de Ameur Chérifi n’a pas également laissé de trace cartographique ou écrite (Notices); pour ce qui est de Mohammed Seghier et de Mohammed Lazragui, je les situe mieux parce qu’ils ont réintégré l’équipe d’aménagement à la reprise des travaux en 1980 – mais uniquement dans la pineraie, pas dans la chênaie dégradée – que tu appelles à juste titre «maquis» – de Hassasnas.
J’aimerais bien qu’en quelques lignes tu me rappelles la nature de ta contribution, sa durée aussi; savoir également la raison pour laquelle l’administration n’a pas cru utile de te réaffecter à notre équipe en 1980, à quoi t’es-tu consacré entre 1977 et 1979 puis à partir de 1980?
Je crois me souvenir que Chérifi a choisi lui-même un poste de responsabilité à Méchéria. Est-ce exact?
Lazragui, a travaillé avec nous quelque temps dans la Pineraie puis m’a demandé de le libérer pour des raisons tout à fait personnelles. J’ai bien évidemment respecté sur le champ sa volonté
Mohammed Seghier, excellent agent, a préféré également rejoindre sa région d’origine Mostaghanem, y ayant trouvé un emploi qui lui convenait dans le secteur bancaire.
Je vois, Menaouri, que tu pourrais apporter une contribution déterminante à notre petite histoire des aménagements forestiers.
Donne-moi également des nouvelles des anciens ouvriers sans lesquels nous n’aurions pu rien faire.
Je ne suis pas parvenu à localiser le réseau de compartimentage assis en forêt de Hassasna; je continuerai mes recherches tout en étant convaincu que la solution viendra des forestiers restés à Saida.
Menaoueri.Monsieur Grim merci pour l’article publier concernant l’histiore de l’aménagement je voudrais savoir combien existe des coupes . il y a la coupe sanitaire coupe rase par bande coupe épargner par les arbres avoisinants coupe par bande à ma connaissance ainssi je vous informe que j’ai chercher sur goole earth mais j’ai pas trouvé l’infrastructure réaliser par moi M Djid Med Seghir Cherifi Ameur Lazragui Med dans le maquis de Rekresset à Hassasnas pour votre message est déja transmis. A bientôt
Pour les personnes qui s’intéressent à l’histoire de l’aménagement forestier en Algérie et également en hommage à nos courageux collègues dont les noms ont déjà été cités sur ce site.
MÉTHODE D’AMÉNAGEMENT DES FORÊTS SUR COMPARTIMENTAGE PRÉALABLE ( compartimentage orthogonal, Monts de Daia et de Saida, 1973-1986)
Les nouvelles entités forestières obtenues à partir du redécoupage des territoires forestiers délimités par l’administration forestière française devaient relever de la direction régionale de Télagh, centre de gestion de Youb (Berthelot) et subdivision de Sidi-Embarek – notamment.
La subdivision de Sidi Embarek (34°42’47’’, 0°04’19’’ Ouest, 990 m) regroupe 2 secteurs et 6 forêts : Ain Zeddim, Oum Trif, Lalla Setti, Oum Graf, Djebel Tebrouria et Faid Larbi.
Pour permettre de situer grossièrement ces forêts sur Google Earth, je commence aujourd’hui à en indiquer les centres de gravité approximatifs .
Secteur de Tamentit;
Forêt d’Ain Zeddim (34°45’23’’; 0°02’48’’Ouest; 895 m);
Forêt d’Oum Trif (34°45’48’’; 0°00’07’’Ouest; 887 m);
Forêt de Lalla Setti (34°39’20’’; 0°03’16’’Ouest; 1156 m).
J’aimerais que les visiteurs de ce site me fassent savoir si mes indications sont intelligibles; dans le cas contraire je modifierais la présentation de ces informations inédites.
Il existe au moins trois approches de la gestion forestière:
– celle des forestiers scandinaves basée sur la régénération des peuplements par la plantation;
– celle des forestiers d’Europe tempéré (Français et Allemands) basée sur le réensemencement naturel;
– celle des forestiers berbères d’Algérie fondée sur l’adaptation des principes de base énoncés par les forestiers européens à des territoires dénués de tradition sylvicole.
La méthode dite de l’aménagement des forêts sur compartimentage préalable et qui comporte deux variantes a été mise en application sur le terrain entre 1968 et 1994 sur trois sites.
Le premier site est celui des Monts des Ouled Nail (région de Djelfa) où intervinrent notamment en 1968 et 1969:
Younès Atek (In memoriam), Mohamed Ben M’Hidi (In memoriam),Abdelhamid Bérini,Mohamed Boussiri, Amar Hamidi, Said Kebab (In memoriam), Abderrahmane Khaldi dit Taleb, Mohammed Mehenni, Seddik Touati (chauffeur courageux), Pierre Vadet (In memoriam), Zitouni (ouvrier génial).
Il faut également mentionner la participation déterminante de dizaines d’ouvriers nailis au talent indiscutable.
Le deuxième site se trouve dans les Monts de Daia et de Saida; participèrent à la mise en application de la variante orthogonale de la méthode d’aménagement sur compartimentage préalable entre 1973 et 1986:
Raymond Antoine (In memoriam), Lakehal Belabbes, Belhamel, Habib Belkhodja, Kada Bensekrane (In memoriam), Berezzoug Belhadi (In memoriam), Mohamed Boucif, Bouzidi (In memoriam), Senouci Brahmi, Miloud Didaoui, Abdelkader Djiid, Laredj Kandouci, Kheira X., Khalifati, Nacereddine Lezzar, Mohamed Marok (In memoriam), Medjahed Mekki (In Memoriam), Bensafi Nedder, Mohamed Seddiri, Mohamed Seghier, Tiffour, Yahiaoui, Assia Yanat, Kouider Zerrouki.
Là également il ne faut pas omettre la contribution décisive de dizaines d’ouvriers tous enfants de Sidi Abdelkrim.
Le troisième site est celui de la forêt de Bainem où fut mis en application le volet non rectiligne de la méthode d’aménagement sur compartimentage préalable durant les années 1993 et 1994.
Participèrent à l’entreprise:
Fettouma Benchérif, Fouad Lalaoui, Maamar X. (chauffeur courageux), Mohamed Seddoud, ainsi qu’une trentaine d’ouvriers dignes d’éloges.
Le Barrage vert originel fut mis en application par l’équipe de Djelfa avec pour intervenant principal Abdelhamid Bérini.
La méthode d’approche de la gestion forestière précédemment évoquée (dite également «méthode des forestiers berbères d’Algérie») est codifiée dans un ouvrage en deux volumes ayant pour titre «Le préaménagement forestier» et élaboré en 1989 avec le concours financier de l’Union européenne.
Des centaines de notices regroupées en «Publications artisanalement reliées et diffusées à compte d’auteur» traitent dans le détail des particularités des techniques utilisées ainsi que des résultats obtenus.
La mort de Berrezoug Belhadi me plonge dans le deuil; comme pour Kada Bensekrane, Mohammed Marok, Raymond Antoine, c’est une autre partie de moi-même qui s’en va avec la disparition de Belhadi; je m’en veux d’ailleurs de ne l’avoir jamais cité sur ce site ou ailleurs alors qu’il a énormément contribué à la réussite de notre projet.
J’ignore s’il évoquait son travail avec sa famille, si donc mon nom est connu des siens; j’insiste néanmoins Ménaouri pour que tu fasses l’effort de transmettre mes condoléances Madame Berrezoug Belhadi et à ses enfants et de leur dire que je partage leur deuil même si c’est de 7 000kilomètres de là où ils se trouvent.
J’aimerais avoir des nouvelles des bons ouvriers qui nous accompagnèrent durant toutes ces années d’intenses travaux dans les Monts de Daia et de Saida; je pense par exemple aux Zerrouki. Ces gens vécurent l’enfer des violences des années 1990. S’en sortirent-ils à peu près bien?
Menaoueri . J’ai transmis le message à mes collègues sont tous bien ,mais seulement on a perdu un de nos amis c’est M Belhadi Berezoug qui est décédé l’annelé passée je vous souhaite une longue vie mon excellent Professeur grâce à vous et Monsieur Mebkhout que nous sommes devenu des responsable . A bientôt.
Menaouri, content d’avoir de tes nouvelles. Ce que nous avons fait dans les Monts de Daia et de Saida, nous l’avons fait «fi sabil ellah» comme disent les gens persuadés que la solidarité entre les humains, le respect de la nature sont des nécessités.
Les gens qui ont travaillé avec moi ont été bien malheureux après que Abdelkrim Bouderghouma, Ahmed Bouchetata, Abdelmelek Saidi et Cie aient décidé de mettre brutalement et illégalement un terme à notre travail.
La zone de Berbour, celle des M’Hamid, celle des Krarcha…après avoir été des territoires de relative prospérité – grâce au travail d’aménagement forestier qui a fait, comme tu le sais, l’admiration y compris de forestiers européens – sont devenus des «triangles de la mort» durant les années 1990. Ma conviction est que jamais la violence ne se serait installée dans les territoires où nous aurions continué à exercer.
On m’a permis en 1993-1994 de travailler un peu dans la forêt de Bainem, près d’Alger, à un moment où la violence gagnait la région; à aucun moment le personnel qui était sous mes ordres n’eut à se plaindre des agressions des uns ou des autres.
L’injustice provoque la violence et il ne fait pas de doute que des populations maintenues par pur plaisir – des dirigeants forestiers par exemple – sans ressources peuvent se laisser aller à des extrémités, la misère et l’exaspération aidant.
J’aimerais, cher Menaouri, que tu transmettes mes salutations à mes anciens collaborateurs: les Didaoui, Belabaci, Belkhodja…
Tu me dis que j’ai bonne mémoire…Comment oublier ceux qu’on aime?
Menaoueri . je suis très contant d’avoir me renseigner M Grim.votre mémoire est encore fraiche mon prénom et MIR ,je vous informe de ma situation actuelle,maintenant je suis en retraite anticipé d’avoir était Chef de Projet de Beni-Chagroun(Mascara) mais hélas le travaille avec des rengeurs (humain) comme vous dite me permet pas de continuer .Je réve,toujours de sentir l’odeur de la Pinerie de Fenouane , de voir El-Hadjira entourée de peuplement de Pin d’Alep avec ses belles infrastructure gravés dans l’histoire grâce à des gens honnêtes qui aiment leur travailles. BON COURAGE
Merci Lakehal Belabbes; permets-moi de continuer à t’appeler Abbas comme par le passé. Tu as largement dépassé l’âge de la retraite légale mais je comprends que les responsables de la SAFA n’aient pas voulu se passer de tes services. Le projet Pineraie de Saida a tenu grâce a toi; tes compétences administratives ne sont plus à démontrer; ce que certains ignorent peut-être ce sont tes compétences techniques et j’espère que tu conserves encore l’excellent travail que tu avais entrepris concernant notre approche de l’aménagement et celle des forestiers bulgares.
Je passe une partie de mon temps à rappeler vos mérites, à citer votre travail et vos noms.
L’aménagement forestier des Monts de Daia et de Saida est à présent visible sur Google Earth avec une résolution suffisante.
Aprrès que le wali Bouderghouma m’ait chassé de Saida, je sais que vous rasiez les murs, que vous vous êtes faits tout petits de crainte des terribles représailles dont on vous a menacés.
Notre incomparable ami et collègue Mohammed Marok a perdu la vie parce que, terrorisé, il n’avait pas su se protéger contre lui-même. Je le pleure encore aujourd’hui comme je pleure le bon Raymond Antoine, décédé en 2006, et qui a tant voulu faire pour les forêts de Saida et d’Algérie.
Nous sommes maintenant bien vieux et je ne sais si la providence nous permettra de nous revoir. Que tous mes anciens subordonnés que je cite, je me répète, sur internet chaque fois que l’occasion m’est donnée sachent que je ne cesse de penser à eux et que je les aime.
On m’a muté à Saida en 1973 pour y pourrir; grâce à vous mon séjour dans ce beau pays fut une bénédiction, en plus, nous avons également tous ensemble mis à la disposition de l’Algérie et des pays dénués de tradition une méthode de mise en valeur des forêts accessible aux autochtones sans pratique forestière: nos collègues Kada Bensekrane, Kouider Zerrouki et Laredj Kandouci ont montré ce que l’homme algérien – que j’appelle parfois le Berbère – est capable de réaliser; encore une fois, chacune des lignes de compartimaentage qu’il ont tracées est visible avec une assez bonne résolution depuis le 4 avril 2010 sur Google Earth.
Voilà pour cette fois, cher Abbas.
missage a monsieur grim said : je suis tres heureux d’apprendre de tes nouvelles , je n’oublierais jammais d’avoir travailler avec toi dans la pineraie de saida et avoir appris baucoup de choses dans les études du pre_aménagement,mais hélas il n’a pas eu de releve avec les jeunnes ingénieurs , je suis toujours en service a la Safa Dahra , mais jai décidé de prendre ma retraite cette anneé , bien le bon jour et dans moi ton adresse et ton numéro de telephone , jai vue la reponse a monsieur Menaoueri mir ce qui m’à ourionter a vous contacter pas le moyen de l’internet
En post scriptum:
Je pense que ton identité complète est Menaoueri Mir. Est-ce que je me trompe?
Menaouri, ton professeur va bien; je te remercie de prendre de mes nouvelles. J’ignore où tu te trouves et ce que tu fais. Je ne vous oublierai jamais; le travail que nous avons effectué sur les Monts de Daia et de Saida est maintenant visible sur Google Earth avec une résolution acceptable. Sur plusieurs sites, d’une manière régulière, je vous présente mes salutations. Je n’ai jamais eu de réponse à mes messages avant toi. Dis à tous ceux qui ont travaillé avec moi – techniciens et ouvriers – combien je les admire, combien je les aime.
Comme tu le sais, j’ai été chassé de Saida où j’étais content de vivre et de travailler.
Mon dernier message aux forestiers de Saida, je l’ai adressé par le biais du site Saida Nostalgérie que tu connais sûrement.
Je suis aujourd’hui un homme âgé – 70 ans – mais jusqu’à mon dernier souffle je défendrai la forêt de Saida contre ses ravageurs – je parle des humains.
Cordialement.
bonjour. je voudrais savoir des nouvelles sur monsieur Grim Said mon professeur Jesuis de la troisieme promotions Centre de Formation Forestis à Saida.
Bonjour,
Pour la protection des plantes médicinales et aromatiques dans la wilaya de Saida, on doit tout d’abord protéger leurs habitas (l’écosystème forestier), sinon on risque de perdre cette biodiversité dans un proche délai. La protection de nos forets est un devoir d’une très grande nécessité.
En 1976 la conservation des forêts de Saida a fait appel au bureau d’études français SATEC pour établir l’inventaire de la fore de Saida. Le bureau d’études a remis un document – un de plus – qui avait été placé, sans avoir été examiné, dans les rayonnages de l’administration. Le personnel d’encadrement de l’administration forestière est aujourd’hui plus nombreux que dans les années 1970. Les ingénieurs forestiers se décideront-ils un jour à quitter leurs bureaux pour les travaux de terrain qui constituent leur raison professionnelle d’exister? Ou bien… »Texte modéré par la rédaction car non compatible avec l’objet du site »…en 1968-1969.
Bonjour,
En matière de biodiversité végétale, je pense qu’il faut donner de l’importance sur le danger qui menace les espèces à caractères médicinales et aromatique de la région de Saida suite à une exploitation abusive de ces espèces par les herboristes.et faire un recensement globale de la flore de Saida avec une cartographie qui délimite ces zones pour un éventuelle plan de protection ; et d’arrêter l’exploitation anarchique ou autorisée des arbres forestiers qui menace l’habitat de ces espèces.
Cupressus dupreziana A.Camus -2.
Je reproduis un court article du correspondant d’El Watan à Saida; Mr Sid Ahmed y évoque l’introduction de cette espèce près de la ville au début des années 1970. Il faut préciser que contrairement à une idée répandue, le cyprès de Duprez n’est pas un arbre à recommander pour les régions arides: dans son habitat naturel il ne survit que parce que ses racines parviennent jusqu’à la nappe phréatique. Il donne par contre d’excellents résultats dans des régions assez bien arrosées comme dans la forêt de Bainem près d’Alger.
‘Le cyprès, une plante pour endiguer la désertification
Profitant de l’opportunité de la journée mondiale de lutte contre la désertification, les botanistes tirent la sonnette d’alarme sur les espèces végétales en voie d’extinction, à l’exemple du cyprès du Tassili.
Parmi les espèces remarquables de la flore du Tassili, la plus célèbre est incontestablement le cyprès, témoin des périodes humides du Sahara. Saida qui est l’une des rares villes, sinon la seule à posséder plus dune vingtaine de cyprès du Tassili, doit, elle aussi, penser à la multiplication et à la protection de la flore qui risque d’être anéantie par l’avancée inexorable du béton. Le cyprès du Tassili ou cyprès duprey tarout se trouve au Sud-est de l’Algérie, dans les lits du oued rocheux en région saharienne, dans le Hoggar et le plateau des Ajjer, espèce endémique en voie d’extinction, car il semblerait que sa reproduction in natura n’est apparemment pas possible au tassili N’ajjer. D’après les derniers relevés, il existe deux aires connues où ne survivraient plus que 210 pieds au Sud est dans le plateau des ajjers, entre 1 200 et 1 700 m d’altitude (oued ahloun et oued tamghit) et dans le Hoggar, sur la piste Tazrout tin tarabine. A cet effet, il est à rappeler l’excellent travail accompli par Grim said, ingénieur des eaux et forêts, qui effectua durant l’hiver 1971 /1972 un recensement dans la région concernée, au cours duquel il a observé, numéroté et décrit 230 arbres vivants. Quant aux cyprès morts, il en avait repéré, positionné et parfois décrit plus de 160. Or, il se trouve que durant les années 74/75, M Grim est venu à Saida, du temps du conservateur des forêts M mebkhout, et a livré à la direction des forêts de la wilaya une centaine de plants de cyprès du Tassili qui ont été utilisés à titre expérimental au niveau de la pépinière de la forêt Ogbane. Selon M. Hami, ce sont des espèces à préserver et il faut procéder d’ores et déjà à la multiplication. Cet arbre est considéré comme une espèce en danger de disparition et figure dans la liste rouge de l’UCIN (union internationale pour la conservation de la nature). La question que ce cyprès soulève sur les plans écologiques et historiques est digne du plus grand intérêt. Tout d’abord, les connaissances des mécanismes d’adaptation du cyprès du Tassili à l’aridité extrême actuelle auraient un impact positif sur les projets de développement durable des régions arides de moyenne altitude. Le cyprès du Tassili est considéré aussi comme témoin du processus de désertification et de l’érosion, de la biodiversité dans cette région, car cet arbre pourrait renseigner sur l’évolution climatique pendant les derniers millénaires. Les conditions d’existence sont actuellement très précaires et il est vivement souhaitable, voir urgent, que des cultures en pépinières nous assurent la conservation des espèces menacées.
Par Sid Ahmed »
Plus spécialement pour Mr. Belkacem Daoudi, je précise que je ne dispose plus de photographies de cette espèce dans son aire d’origine; l’un des objectifs des missions dont je ne cesse de demander depuis 38 ans l’organisation est précisément de constituer une documentation photographique et filmée sur cet arbre qui fait partie des 12 espaces végétales les plus menacées de disparition au niveau mondial.
En ce qui concerne les mensurations de Cupressus dupreziana en zone à écologie favorable, cf. : S.Grim et F.Sahli – Cupressus dupreziana hors de son aire naturelle, quatrième note, Bainem (ancien arboretum), Algérie. Notices Forestières Brèves, numéro 92, novembre 1993, 1p.
Mr. Ksentini pourrait utilement mettre en ligne quelques vues des cyprès du Tassili introduits dans les années 1970 à Saida.
Cupressus dupreziana A. Camus -1.
J’ai effectué deux missions d’inventaire des cyprès de Duprez, la première en 1967 et la deuxième en 1971-1972. Le premier recensement a, en définitive, consisté à refaire – sans le savoir – le trajet parcouru par le professeur Barry et ses collaborateurs au premier rang desquels il faut citer l’éminent botaniste Louis Faurel.
La deuxième expédition fut plus fructueuse puisqu’elle a permis de recenser 230 arbres vivants et plus d’une centaine de cyprès morts.
Des demandes ont été faites pour poursuivre l’inventaire des cyprès du Tassili durant les années 1977, 1982, 1987, 1992, 1997, 2002, 2007; toutes ont été rejetées.
Est-il possible d’envisager pour 2012 une mission de trois mois sur le plateau du Tassili afin de parfaire l’inventaire de 1971-1972?
Les investigations seraient également l’occasion de réaliser un documentaire filmé sur cet arbre exceptionnel et d’indiquer les mesures pratiques nécessaires à sa plus grande protection
Merci à toutes et à tous pour vos commentaires. Je conseille à tous nos visiteurs de consulter le site du CNDRB (www.cndrb.dz), Centre National du Développement des Ressources Biologiques.
Restez fidèles à SaidaNature.
Très ravis de trouver et de Visiter votre site …
Je suis amateur de la Nature (Faune et Flore) . Bon Courage & bonne Continuation.
En attente d’un travail bien plus Vaste (Faune et Flore + images avec Commentaires).
Rabbi Ye3awnak we yejazeek.
bravo a saida nature. le centre national de développement des ressources biologiques vous ouvre les colonnes de son bulletin pour des articles concernant la faune, la flore algériennes et les menaces sur notre biodiversité avec des cas illustrés pour l’Algérie.
bonjour,
je me presente, je suis un etudiant en informatique en 5éme année, je réalise mon projet de fin d’etude au CNDRB (centre national de developpement des ressources biologique),,
c’est une application web et base de donnée qui va aider à centraliser l’ensemble des inventaire sur les ressources biologique en algerie,
j’éspér qu’on va faire un bon travail..
http://www.cndrb.dz si vous voulez contacter quelqu’un du centre..
et méme moi, j’aime bien si vous m’aidiez à connaitre ce que le publique veule savoir sur la biodiversité..(surtout les enfant) j’accepte toute idée…
C’est bien triste toutes ces pertes d’espèces…
je veux tous les especes végétal qui vive en la wilaya de saida